SORTIE LIVRE UFO

EN AVRIL EN LIBRAIRE L'OUVRAGE DE EGON KRAGEL ET YVES COUPRIE

EXCLUSIF  !   CI-DESSOUS L'AVANT PROPOS  DE L'OUVRAGE A PARAÎTRE.

OVNIS – ENQUÊTE SUR UN SECRET D’ETATS

Le cherche midi éditeur

La levée du secret

Quand les mystères sont très malins,

ils se cachent dans la lumière.

Jean GIONO

LA COUVERTURE DE L'OUVRAGE A PARAÎTRE  - EGON KRAGEL - YVES COUPRIE

Lors de notre enquête, entamée en septembre 2008, nous avons demandé à chacun de nos interlocuteurs quelle était la preuve la plus convaincante de la “réalité” des ovnis. Chez ceux qui n’avaient pas été témoins d’observations, une réponse revenait régulièrement : “ la déclassification des documents officiels. ” La levée du fameux “secret défense” a notamment achevé de convaincre un officier de renseignement français, un commandant de police, un pilote de chasse et un politologue australien que nous avons rencontrés, tous sceptiques par nature et peu enclins à la lecture d’ouvrages de science-fiction.

Que faut-il entendre par “ déclassification ” ?  Il s’agit d’un long combat, mené par des chercheurs, des journalistes, des ufologues, des avocats et des députés, depuis les années 50, pour contraindre les gouvernements à rendre publiques leurs archives sur les phénomènes aérospatiaux inexpliqués.

         L’ouverture progressive de ces dossiers, dans de nombreux pays d’Europe et dans les deux Amériques, a permis d’établir les faits suivants :

         - L’intérêt réel, et permanent, des autorités occidentales pour la question. Autant au niveau de la Défense que de la “sécurité intérieure” - que ce soit la police, la gendarmerie ou les services secrets, selon les États.

         - L’existence d’officines officielles – parfois officieuses - consacrées à son étude.

         - L’étonnante abondance des cas observés - et parfois traités avec le plus grand sérieux. A eux seuls, les dossiers américains ouverts en 1976 et désormais disponibles aux Archives Nationales totalisent 130 000 pages pour environ 15 000 cas recensés. En 1979, un petit pays comme l’Uruguay dévoilait 1 100 rapports à des groupes d’ufologues.

Un chercheur espagnol, Vicente-Juan Ballester Olmos, s’est spécialisé dans la déclassification. Il nous a adressé sa chronologie précise, établie fin 2009, des pays ayant ouvert leurs archives sur les ovnis. Et cette liste laisse songeur :

         Argentine, Australie, Belgique, Brésil, Canada, Chili, Danemark, Équateur, Espagne, Finlande, France, Grande-Bretagne, Grèce, Italie, Irlande, Mexique, Norvège, Nouvelle-Zélande, Pérou, Philippines, Portugal, Roumanie, Russie, Suisse, Suède, Uruguay, USA.

Ce chercheur a mis en ligne (www.anomalia.org/disclosure2.pdf) un tableau complet et détaillé indiquant les dates et les conditions de déclassification, les sujets traités, le nombre de pages de chaque dossier et les organismes auprès desquels se les procurer.

Cette révélation récente entraîne de légitimes questions :

         - Pourquoi 27 États industrialisés, parmi lesquels les plus puissants de la planète (à l’exception notable de la Chine et du Japon), révéleraient-ils s’être intéressés de près à un phénomène, pendant plus d’un demi-siècle, si celui-ci n’était pas “ sérieux ” ?

         - Les armées occidentales auraient-elles conservé les innombrables rapports établis par des pilotes de chasse, des généraux, des amiraux, si ceux-ci étaient fantaisistes ?

         - Les gouvernements Européens et Américains auraient-ils accepté de dépenser aussi longtemps l’argent des contribuables pour étudier des phénomènes s’ils n’étaient pas “réels” ?

         - Des organismes aussi importants que le FBI, la CIA, la NSA, le KGB, le CNES, la Royale Air Force, la Guardia Civile espagnole, le MoD britannique, le ministère norvégien des Affaires Étrangères, l’armée de l’Air suisse  ou  la gendarmerie royale du Canada, auraient-ils consacré du temps et des moyens humains à étudier les ovnis, des années 40 jusqu’à aujourd’hui, s’il s’agissait d’une farce, d’une légende, d’une illusion d’optique ou d’une hallucination collective ?

         - Enfin, s’il a fallu trente à cinquante ans pour obtenir l’ouverture de ces dossiers, longtemps classés “Top secret”, est-ce parce que les gouvernements ont préféré cacher une vérité à la population ?

C’est ce que nous avons décidé de découvrir.

Exclusif Les Repas Ufologiques.